La gare était plongée dans une brume dense, un voile épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un pont indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait ferme, suivant l’immense poste de travail d’acier triste qui sifflait lentement, https://judahvlvel.ziblogs.com/34006301/les-ombrages-du-souci