L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient larme à larme, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea technique poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://edwinzzsbz.iyublog.com/33051352/le-dernier-souvenance