Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre arrondie au centre de son manufacture. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une inhalation lente, une usage née d’un fait traditionnel répété à tout moment. https://rafaeloaiow.bloguetechno.com/les-lignes-calmés-69325709