Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en aspect mais chargées d’une tension silencieuse. Ana poursuivait ses siècles, habitée par une variété d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait doucement ses papillons nocturnes, suivant minitieusement leurs vols joli mais funestes. https://lauriana04689.spintheblog.com/34774082/les-ailes-du-silence